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C’est en 2002 en surfant sur Internet que je tombai pour la première fois sur des images scatophiles et coprophagiques. Je connaissais l'existence de telles pratiques par la lecture du Divin Marquis, notamment l'"Histoire de Juliette, ou les Prospérités du vice" ou "Les Cent Vingt Journées de Sodome".

Et là, à la vue de ces images, un choc ! Aucun sentiment de dégoût, mais une sorte de fascination. Et des interrogations. Comment peut-on arriver à faire cela ? Quel peut être le plaisir ? … Pourrai-je le faire ?

Pendant des mois, je visionnais, très régulièrement, de petites vidéos et je téléchargeais des photographies. Déjà certaines actrices avaient mes préférences, en particulier la Française Alexia Cage, la délicieuse petite Allemande Ingrid et, bien évidemment, la reine de toutes, la divine Veronica Moser. Je me masturbais quotidiennement devant leurs performances.

Et puis un jour, je décidai de franchir un premier pas. Je déféquai à même le sol et je me mis à sentir mon caviar. Honnêtement, dur à vivre : des haut-le cœur, une odeur épouvantable. Après une vingtaine de secondes, je jetai le tout dans la poubelle tout en me promettant de ne plus le faire.

Mais la nature humaine est faible. Et quelques semaines plus tard, je me lâchai dans ma main et je me masturbai frénétiquement avec. Ce premier contact des excréments avec mon pénis est un souvenir impérissable.

Le lendemain, je passai au stade du "tartinage" sur tout le corps et le visage. Pour terminer par une masturbation elle-même inoubliable. Mais encore des haut-le cœur.

Voilà ! Ceci constitue mes premiers pas, timides, dans le monde de la dépravation.